Les groupes de jeux contribuent à l’intégration des enfants avec des besoins spécifiques. Les professionnels demandent un plus grand engagement de la part des pouvoirs publics.
Sur la base d’une étude, la Fédération suisse des animatrices de groupes de jeux (SSLV) démontre qu’environ la moitié des enfants en âge préscolaire qui fréquentent un groupe de jeux ont des besoins particuliers en matière d’éducation.
Le soutien apporté par les groupes de jeux profitent avant tout aux enfants de langue étrangère et avec des besoins spécifiques. Le financement est avant tout assumé par les parents.
Manque de personnel
La SSLV constate cependant un manque de personnel pour mener à bien ce travail. C’est pourquoi elle demande aujourd’hui plus de moyens financiers et politiques de la part des communes et des cantons. Elle demande également qu’une obligation de notification soit instaurée, afin d’assurer la qualité des structures.
A ce jour, peu de communes soutiennent activement les groupes de jeux.
Communiqué de presse de la SSLV